Coffim - Mecenat - association artistique

PARTENARIATS SOCIO-ARTISTIQUES

COFFIM a choisi de faire partager le goût de l’art contemporain et plus généralement des différentes formes de création artistique à des jeunes issus de milieux sociaux moins favorisés.

Cet engagement trouve son origine dans la création en 1991 de la fondation ‘La Source’ par le peintre et sculpteur Gérard Garouste. Celle-ci développe des programmes fondés sur l’éveil artistique destinés à des adolescents en difficulté scolaire et sociale. Depuis lors, les actions de mécénat de COFFIM n’ont cessé de se développer.

Coffim s'engage à soutenir l'association La Source

SOUTIEN A L’ASSOCIATION LA SOURCE

L’association LA SOURCE, créée en 1991 à l’initiative du peintre Gérard GAROUSTE à La Guéroulde (près de Breteuil-sur-Iton, dans l’EURE), développe auprès des jeunes en difficulté scolaire et sociale des actions de prévention, d'animation et d’éducation fondées sur l'éveil artistique. Elles ont permis à ce centre installé en milieu rural d’acquérir un statut de pôle culturel de dimension régionale.
www.associationlasource.fr

Pourquoi l’art ? C'est un outil efficace pour lutter contre l’exclusion sous toutes ses formes. Grâce à l’art, les enfants et les jeunes (re)prennent confiance en eux. Les ateliers artistiques leur permettent de développer leur imaginaire, de libérer leurs émotions, d’acquérir de l’autonomie et de se prouver qu’ils sont capables de créer, de fabriquer et de concrétiser un projet.

La Source les éveille à des valeurs positives comme la curiosité, la liberté, l’ouverture, l’appropriation et le sens du collectif. Au cours des dernières années, La Source a créé de nouveaux centres à VILLARCEAUX, DINARD, ANNONAY, MEUDON, ITURRIA, GRAND PARIS,… fédérés par une Fondation LA SOURCE DES SOURCES. Depuis sa création, La Source a touché 80 000 jeunes, de 6 à 18 ans, dans sept départements et accueilli en résidences plus de 250 artistes. La Source est ouverte aux collectivités locales et aux établissements scolaires, avec lesquels elle développe des ateliers spécifiques.

Administrateur depuis la création de l'association, Dominique DUTREIX a réuni les capitaux nécessaires à l’achat des murs de la première résidence. Il a aussi fédéré un groupe de professionnels de l’immobilier (le notaire André PONE, l’avocat-fiscaliste Jacques-Henry KOHN, le consultant Olivier MAREC, …) pour épauler Gérard GAROUSTE dans la mise en œuvre de ce projet solidaire devenu une véritable institution socio-culturelle dans les régions. Au travers de son approche artistique, la Source ouvre le champ des possibles à des enfants qui n’ont pas la chance d’avoir un accès direct à la culture.

DE LA RENCONTRE ENTRE UN ENFANT ET UN ARTISTE NAÎT UNE OEUVRE. DE CETTE OEUVRE NAÎT UNE ÉMOTION. DE CETTE ÉMOTION NAÎT LA CONSCIENCE DE SA PLACE AU SEIN DE LA SOCIÉTÉ...

ILS, ELLES, témoignent

« L’art est une nécessité pour l’équilibre de l’enfant et, tel qu’il est pratiqué dans le cadre de La Source, c’est un levier citoyen. Favoriser l'épanouissement de l'enfant et l'éveiller à l'art, c'est cultiver sa sensibilité, son imagination, son intelligence, dans la perspective d'en faire un être de désir. Je remercie Dominique DUTREIX et COFFIM de leur apport irremplaçable au lancement de La Source. Sans leur impulsion et leur soutien constant, je n’aurais pas pu mener à bien ce grand projet»
Gérard Garouste

Coffim et l'art contemporain

« J’ai passé d’excellents moments à La Source. Les artistes m’ont appris à apprécier l’art sous toutes ses formes. Grâce aux ateliers, je sortais de chez moi, je voyais d’autres enfants de mon âge. Je me sentais très épanouie. La Source a été très bénéfique pour moi. J’y ai beaucoup appris, notamment le savoir-vivre avec les autres et avoir un esprit collectif. »
Gaëlle a suivi les ateliers de La Source-Villarceaux

« Quand je suis venu voir les enfants pour travailler avec eux à La Source, je décidais de leur démontrer que la création n’était pas sacrée ou réservée à une élite (...). Pour cette première approche, je pense qu’il était important de créer un petit choc, de montrer cette folie qui, pas si folle que ça, permet de bâtir quelque chose. Que ce soit beau ou pas n’est pas le problème. »
Robert COMBAS, peintre.